2012-11-03T05:12:00+01:00

Mini cannelés jambon olive

Publié par kekeli

De droite à gauche :

 

-         Petits soufflés au chorizo

 -         Crème d’aubergine en verrine

 -         Petits bouchons au thon

 -         Mini cake au fromage de chèvre et petits bouchon au thon

-         Mini cannelé jambon/olive (recette d’aujourd’hui)

 

aperitif-mariage 0041

 

Pour 18 minis cannelés :

 

110 gr de farine

1 cuill. à café de levure chimique

1 pincée de sel

1 œuf

40 gr de beurre

½ yaourt

1 cuill. à soupe de lait

100 gr de jambon

40 gr d’olive dénoyautées

½ cuill. à soupe de moutarde

½ cuill. à café de romarin

½ cuill. à café d’origan

 

Faire fondre le beurre, le laisser refroidir et le mélanger avec l’œuf battu en omelette. Ajouter le demi-yaourt et le lait, mélanger, et ajouter la moutarde, le jambon et les olives en petits morceaux. Ajouter la farine mélangée à la levure et mélanger grossièrement, il doit rester des grumeaux. Faire cuire au four préchauffé à 210° pendant 20 mn.

 

 

Mini cannelés jambon olives

 

 

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commentaires
C
Hummmm, les appéro je suis accro!<br /> Bon WE Kekeli bisous;-)*maria
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A
tout mimi et super gourmands ! j'aime bcp ^^
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S
j'aime beaucoup ceux-là !
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E
Je passe te dire "bonne et douce soirée " ...<br /> <br /> j'ai pas eu beaucoup de temps ce jour ....<br /> <br /> bisous et a demain ....<br /> <br /> et je te laisse avec quelques phrases de ce cher<br /> <br /> Victor HUGO (1802-1885)<br /> <br /> Novembre<br /> <br /> Je lui dis : La rose du jardin, comme tu sais, dure peu ;<br /> et la saison des roses est bien vite écoulée.<br /> SADI.<br /> <br /> <br /> Quand l'Automne, abrégeant les jours qu'elle dévore,<br /> Éteint leurs soirs de flamme et glace leur aurore,<br /> Quand Novembre de brume inonde le ciel bleu,<br /> Que le bois tourbillonne et qu'il neige des feuilles,<br /> Ô ma muse ! en mon âme alors tu te recueilles,<br /> Comme un enfant transi qui s'approche du feu.<br /> <br /> Devant le sombre hiver de Paris qui bourdonne,<br /> Ton soleil d'orient s'éclipse, et t'abandonne,<br /> Ton beau rêve d'Asie avorte, et tu ne vois<br /> Sous tes yeux que la rue au bruit accoutumée,<br /> Brouillard à ta fenêtre, et longs flots de fumée<br /> Qui baignent en fuyant l'angle noirci des toits.<br /> <br /> Alors s'en vont en foule et sultans et sultanes,<br /> Pyramides, palmiers, galères capitanes,<br /> Et le tigre vorace et le chameau frugal,<br /> Djinns au vol furieux, danses des bayadères,<br /> L'Arabe qui se penche au cou des dromadaires,<br /> Et la fauve girafe au galop inégal !<br /> <br /> Alors, éléphants blancs chargés de femmes brunes,<br /> Cités aux dômes d'or où les mois sont des lunes,<br /> Imans de Mahomet, mages, prêtres de Bel,<br /> Tout fuit, tout disparaît : - plus de minaret maure,<br /> Plus de sérail fleuri, plus d'ardente Gomorrhe<br /> Qui jette un reflet rouge au front noir de Babel !<br /> <br /> C'est Paris, c'est l'hiver. - A ta chanson confuse<br /> Odalisques, émirs, pachas, tout se refuse.<br /> Dans ce vaste Paris le klephte est à l'étroit ;<br /> Le Nil déborderait ; les roses du Bengale<br /> Frissonnent dans ces champs où se tait la cigale ;<br /> A ce soleil brumeux les Péris auraient froid.<br /> <br /> Pleurant ton Orient, alors, muse ingénue,<br /> Tu viens à moi, honteuse, et seule, et presque nue.<br /> - N'as-tu pas, me dis-tu, dans ton coeur jeune encor<br /> Quelque chose à chanter, ami ? car je m'ennuie<br /> A voir ta blanche vitre où ruisselle la pluie,<br /> Moi qui dans mes vitraux avais un soleil d'or !<br /> <br /> Puis, tu prends mes deux mains dans tes mains diaphanes ;<br /> Et nous nous asseyons, et, loin des yeux profanes,<br /> Entre mes souvenirs je t'offre les plus doux,<br /> Mon jeune âge, et ses jeux, et l'école mutine,<br /> Et les serments sans fin de la vierge enfantine,<br /> Aujourd'hui mère heureuse aux bras d'un autre époux.<br /> <br /> Je te raconte aussi comment, aux Feuillantines,<br /> Jadis tintaient pour moi les cloches argentines ;<br /> Comment, jeune et sauvage, errait ma liberté,<br /> Et qu'à dix ans, parfois, resté seul à la brune,<br /> Rêveur, mes yeux cherchaient les deux yeux de la lune,<br /> Comme la fleur qui s'ouvre aux tièdes nuits d'été.<br /> <br /> Puis tu me vois du pied pressant l'escarpolette<br /> Qui d'un vieux marronnier fait crier le squelette,<br /> Et vole, de ma mère éternelle terreur !<br /> Puis je te dis les noms de mes amis d'Espagne,<br /> Madrid, et son collège où l'ennui t'accompagne,<br /> Et nos combats d'enfants pour le grand Empereur !<br /> <br /> Puis encor mon bon père, ou quelque jeune fille<br /> Morte à quinze ans, à l'âge où l'oeil s'allume et brille.<br /> Mais surtout tu te plais aux premières amours,<br /> Frais papillons dont l'aile, en fuyant rajeunie,<br /> Sous le doigt qui la fixe est si vite ternie,<br /> Essaim doré qui n'a qu'un jour dans tous nos jours.
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E
des beaux cannellés humm!!! bravo ma poulette
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C
j'adore les petits cannelés salés!!!!!!<br /> bon samedi<br /> bisous
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G
encore une délicieuse recette ici encore un temps pourri alors demain vélo ???????<br /> bises et bon week-end
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D
Bonne semaine, merci pour le partage, Pascal.
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P
humm, que sa doit etre bon, bisous
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G
c'est vrai que c'est tellement mieux de faire son apéro maison
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M
c'est toujours tres apprécié à l'apéro et c'est bien présenté bizzzz
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L
Je les imagine avec du saumon... ou des dés de jambon de dinde... je succombe ^^<br /> Bisous
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P
C'est une bonne idée en apéro les mini-cannelés!<br /> Bon week-end, Prici
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C
bonne journée<br /> bisous++
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